Exigez Medical Light System, la Référence en Photothérapie ou Photomodulation LED par des études Scientifiques et Biologiques
Mise en perspective, origine, définition, optimisation, principe et mécanisme d'action, critères de choix, techniques additionnelles, champs d'applications
" Plus besoin de faire mal pour soigner " (Dr François Michel)
Vous avez entendu parler :
- de luminothérapie, la lumière " blanche " pour soigner les dépressions d'hiver dûes au manque de soleil ?,
- du masque de LED (neutrogéna) pour traiter l'acné dans the Voice l'été 2018 ?,
- de la lumière bleue pour guérir la jaunisse des nouveaux-nés, utilisée en milieu Hospitalier depuis plus de 40 ans ?.
MISE EN PERSPECTIVE
Il s'agit de reproduire la lumière du spectre visible diffusée par le soleil (la lumière visible), ainsi que la lumière du spectre invisible proche du Rouge, l'Infrarouge court. Nous ne reproduisons pas les Ultra Violets (UV A et B) qui abiment et détruisent la peau. Ces lumières ne nous parviennent en moyenne au cours de la journée qu'en petites quantités, à cause des différentes couches de notre planète, des UV et des Infrarouges longs qui bloquent sa propagation. On ne reproduit donc que des lumières diffusées naturellement par le soleil. Cette lumière diffusée par un appareil de Photobiomodulation par LED (PBM) * est dite froide car elle ne provoque aucune douleur, aucune éviction sociale ou liée au type de peau et ne présente aucun danger (dès l'instant où l'appareil est garanti sans UV). Par opposition à la lumière diffusée par les lasers thermiques et les techniques invasives. Elle porte aussi de nombreux autres noms : nous avons recensé en tout, 16 appelations différentes. Photothérapie ou photothérapies non thermiques (qui regroupent l'ensemble des sources lumineuses y compris les lasers ainsi que les appareils qui diffusent des UV), luminothérapie (pour le grand public, qui est une exploitation " assez basique " des LEDs) dit dynamique. Biostimulation, photostimulation, photobiostimulation, lumière LED, photobiologie, photomodulation LED professionnel. Dans une moindre mesure, chromothérapie (méthode liée à la couleur, à la longueur d'onde diffusée). Aux Etats-Unis : soft laser ou laser LED, Low Level Light Therapy (L.L.L.T. ou Thérapie de Laser Basse Energie) : il y a très peu de pertes de puissances et de " cohérences " entre la diffusion de la lumière LED et la peau. D'ailleurs, à ne confondre avec les lasers L.L.L.T., qui comme son nom l'indique, sont des lasers dit " froid " (sans douleur). On assimile souvent les résultats obtenus avec un laser froid, à ceux obtenus avec la lumière LED, qui fait aussi partie de la médecine quantique. * ce terme nous parait aujourd'hui le plus représentatif de l'apport et de l'effet biologique provoquée par la lumière froide sur toutes nos cellules. Il a été validé par le M.I.T. aux Etats-Unis comme un élément chimique essentiel lié aux fibroblastes avec la création d'un marqueur officiel. Historique : acteur de la médecine esthétique En France
Chaque longueur d'onde diffusée par le Soleil est matérialisée par une couleur.
Chaque couleur a un pouvoir de pénétration dans la peau (voir plus loin : A chaque longueur d'onde sa cible).
Dr Sylvie Boisnic, dermatologue, Professeure associée à l'Hôpital La Pitié Salpêtrière, qui a dirigé ces études, conclue :
" Nous avons mis en évidence l'effet réparateur des séances de lumière Médical Light System© sur le tissu conjonctif (fibres élastiques et collagène) altéré au niveau des vergetures.
Cet effet est en rapport avec une restructuration statistiquement significative des faisceaux de collagène et de fibres élastiques alltérées au niveau des vergetures mais également avec une stimulation du métabolisme des fibroblastes ".
Le principe mis en évidence est à mettre en rapport avec la photosynthèse des plantes : la peau se renouvelle progressivement de l'intérieur.
En effet, la photobiomodulation par LED stimule les mitochondries au coeur des cellules, au sein des fibroblastes, produisant ainsi des molécules d'ATP.
Les résultats sont la stimulation cellulaire et la production d'élastines et de collagènes de bonne qualité.
Le rayonnement monochromatique émis par les LED agit sur le métabolisme cellulaire.
Cette activité concernent essentiellement la chaîne respiratoire et tout particulièrement la stimulation d'une enzyme clé, la cytochrome C oxydase.
Les nombreux effets sur l'inflammation, la douleur, le renouvellement cellulaire et la synthèse de la matrice extra-cellulaire (collagène, élastine, ...) découlent de ces propriétés photobiomodulatrices.
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